Présentés au Musée
L'Arrivée du printemps !

le 23 mars 2025, 13h à 16h
Le Musée canadien des langues a célébré le debut du printemps avec l'artiste Leah Gold, qui a aidé les visiteurs à créer leurs propres plaques de rue eblématique de Toronto. Les visiteurs aussi ont profité de l'exposition LES LANGUES DE TORONTO S'AFFICHENT : 150 ANS D'HISTOIRE et une des organiseurs Jocelyn Kent a parlé de la création.


Ma langue, mon chez-moi
le 4 septembre au 4 décembre 2024
Ai Taniguchi, professeure en linguistique à l’université de Toronto, a présenté des bandes dessinées basées sur ses entretiens avec des élèves multilingues au sujet de leurs expériences à Toronto.
Le musée a organisé une réception pour célébrer l’exposition le 2 novembre 2024. La professeure Taniguchi a donné une présentation sur l’utilité des bandes dessinées dans la communication linguistique et a dessiné les portraits de trois personnes chanceuses sélectionnées par tirage au sort (dont la directrice Elaine Gold) dans son style de bande dessinée.

Lancement du livre Heritage Languages : Extending Variationist Approaches (en anglais)
Naomi Nagy, directrice du département de linguistique à l’Université de Toronto, a introduit sa nouvelle livre.
L’ouvrage recense les variations et changements survenus au fil des années dans huit langues ancestrales parlées à Toronto.
le 29 septembre 2024



Exposition sur la langue macédonienne (en anglais)
Conçue par l’étudiante Margaret Todoroska et la professeure de linguistique Christina Kramer, toutes deux à l’Université de Toronto, cette exposition présentait l’histoire de la langue et de la communauté macédonienne à Toronto.
La professeure Kramer à fait une allocution lors du événement.
Les deux conceptrices ont aussi créé un livret sur l’exposition.
le 23 juin 2024

Toronto Voices: Language and Identity at The Spot (en anglais)
Cette exposition spéciale a été conçue par des jeunes qui fréquentent The Spot, au centre communautaire du quartier Jane-Finch. Ils ont bénéficié du soutien des linguistes Vidhya Elango et Derek Denis, ainsi que des étudiants inscrits au cours d’histoire publique à l’Université York.
Le professeur Denis et madame Elango ont animé des séances de discussion avec les jeunes sur leurs opinions de l’argot et sur le langage qu’ils utilisent à Toronto. Ce premier projet d’extension lancé par le Musée a mené à cette exposition de témoignages des jeunes et de photos qu’ils ont prises dans leur communauté. Certains des panneaux figurent ci-après.
le 4 mai au 18 juin 2024
En outre, Melissa Douglas et Shiyan Liang, étudiantes à l’Université York, ont créé un dictionnaire inspiré de leurs conversations avec les jeunes, leur famille et leurs amis.
Le dictionnaire contient des exemples de mots utilisés. Consultez la liste de chansons sur YouTube.

L'Observatoire du paysage torontois
La professeure Jane Wolff, de l’Université de Toronto, a créé cette exposition interactive pour la Biennale de Toronto en 2022, puis l’a présentée au Musée canadien des langues.
L’Observatoire vise à favoriser et décoloniser l’observation du paysage et incite les visiteurs interagir avec leur environnement par le biais d’outils et de promenades.
On avait invité les visiteurs à partager leurs observations afin de contribuer à la création d’un nouveau vocabulaire sur le paysage.
le 17 janvier au 13 avril 2023

Pour le bien-être de la rivière Credit
Créé par les étudiants inscrits au cours « Art et peinture » au Collège universitaire Glendon de l’Université York, sous la direction de la professeure Julie René de Cotret.
Chaque étudiant a contribué une œuvre inspirée par les efforts de conservation entrepris sur la rivière Credit, dans le sud de l’Ontario.
le 7 mars au 13 avril 2023


TRANSFORMER : Une exploration des langages de la guérison
L’exposition vise à déconstruire ce que l’artiste Alanna Kibbe appelle « Le langage de la guérison ».
Une expression créative de la vie après le cancer du sein, de la douleur chronique et des maladies chroniques, ainsi qu’une navigation spirituelle et transformative de la maladie, cette exposition partage avec les visiteurs les différentes versions de la guérison que l’artiste a vécues afin de survivre et de se porter bien.
Chacune des œuvres représente une version de la guérison : le cocon; la transformation; surmonter une mort métaphorique; le deuil; trouver son chez-soi en soi-même; se défaire du costume; découvrir ses ailes et sa liberté; redevenir poussière d’étoiles.
Les visiteurs ont participé à une activité interactive qui témoigne de l’interdépendance et de l’engagement communautaire qui sont, selon l’artiste, les éléments essentiels des langages de la guérison communiqués par son œuvre. Pendant l’exposition, l’artiste recueillera les éléments contribués par les visiteurs et les incorporera au tissu de l’œuvre. Ainsi, les participants feront partie intégrante de l’œuvre.
le 23 mars au 28 avril 2022 ; le lancement a été le 31 mars 2022

Spectres de coolies
Le professeur Amar Wahab explore le silence fait sur les systèmes coloniaux de main- d’œuvre asservie dans les Caraïbes.
L'exposition s'articule autour de la question suivante : comment repenser de façon créative les présences et les voix évocatrices des fantômes dans les archives concernant les coolies ? Elle propose une « ethnographie d'archives » pour alimenter la réflexion sur les coolies commes travailleurs en transit et sur l'(in)visibilité des présences occultées dans les documents officiels. Dans ce language visuel des mort, le « coolie » est une figure fantomale qui rôde dans l'histoire et à ses marges, et dont la positionalité perturbatrice incarne un fétichisme stratégique des relations de pouvoir (post)coloniales.
L'exposition réunit des images et des installations présentées dans son livre Disciplining Coolies: An Archival Footprint of Trinidad, 1846 (2019). Le livre présente une analyse des transcriptions d'une enquête britannique sur la torture, la misère, et la mort de travailleurs indiens en servitude, appelès « coolies » dans le langage coloniel officiel.
L'exposition et le livre ont été lancés au musée le 24 octobre.
le 24 october 2019 au 25 novembre 2019

gravité/élégance/descente
gravité/élégance/descente est une méditation de la poésie, du geste, et du mouvement. Thèmes de la gravité, de la légèreté, des saisons, des passages et du cycle du temps à travers ce trio contemplatif.
Un definition physique de 'la gravité':
« force qui attire les corps vers la centre de la terre » .
C'est nous.
« Tous les mouvements naturels de l'âme sont régis par des lois analogues à celles de la pesanteur matérielle. La grâce seule fait exception. Deux forces regnant sur l'univers : lumière et pesanteur... »
-- Simone Weil, La Pesanteur et La Grâce
La chorégraphe de renommée Carol Anderson, avec les célèbres danseuses Terrill Maguire et Claudia Moore, a presentée son œuvre, qui combinent la mouvement et la parole.
le 22 november 2018 et le 3 octobre 2019

Un soir avec...
Vladyana Krykova, illustratice primé, a parlé de son expérience avec les histoires inuites. Elle collabora avec ecrivain Michael Kusugak pour faire vivre ses histoires. Ella a aussi partagé les histoires et les diapositives de ses visites au Nunvaut où elle a dirigé des ateliers de faire livre pour les éducateurs inuits.
le 23 octobre 2018

De la tradition au binaire
L'artiste abénakaise Carmen Hathaway présente les peintures et les sculptures qui reflet un alliance entre les traditions et le numérique, y compris les interprétations moderne de tissage traditionale.
Cette exposition fait partie du projet intitulé L’art autochtone comme signe de résilience et moyen de réconciliation. Nadine St. Louis, qui œuvre dans le domaine du patrimoine micmac et acadien, a pris la parole lors de l’événement de fermeture. Madame St. Louis est la fondatrice et la directrice générale de Sacred Fire Production, entreprise qui promeut les œuvres et les artistes autochtones, fait de la sensibilisation, cherche à contrer les stéréotypes et favorise le dialogue interculturel afin de mettre de l’avant les artistes autochtones.
le 9 au 26 janvier 2018

Le meilleur monde imaginable
Une collection de sept histoires multilingues par les canadiens pour les canadiens.
Les auteurs pour les enfants a lisé dans leur langue maternelle, anglais, et français.
20 fevrier 2016

Trésor de terminologie de la glace et de la neige à Terre-Neuve
L'exposition par Marlene Creates explore la relation entre la langue et le paysage naturel. En 2013, cette exposition a d'ailleurs gagné le BMW Exhibition Prize au Scotiabank CONTACT Photography Festival.
Creates a publié un livre qui a adapté de son vidéo-poème, De « Ground-Tier » à « Sparrow-Batch » : trésor de terminologie de la glace et de la neige à Terre-Neuve, rivière Blast Hole Pond, hiver 2012-2013 (2014). La première partie du livre présente un long poème en 40 sections qui présente la chronologie d’un hiver à la suite des changements provoqués par forage du trou de mine à la rivière Pond. Les phénomènes saisonniers sont décrits, y compris une cinquantaine de variétés de glace, de neige et d’événements météorologiques, chacune ayant un nom. La deuxième partie décrit la glace de mer au moyen de nombreux termes.
Exposition de photo et vidéo : le 1 fevrier au 31 mars 2014